La vie simple protège-t-elle le cerveau ? L’exemple des sœurs religieuses

Cette semaine, j’ai envie de vous parler d’une étude que je trouve absolument fascinante.

Elle a été menée sur des sœurs religieuses, et elle nous en dit long sur la mémoire, la longévité et le pouvoir de notre style de vie.

Mais avant d’y venir, quel beau mois nous venons de vivre !

Le Grand Rassemblement vient de se terminer avec des entrevues inspirantes, le Défi 7 jours a réuni près de 2 000 participants, et plusieurs ont choisi d’aller plus loin, décidés à transformer leur futur.

Et c’est exactement de cela qu’il s’agit aujourd’hui : notre pouvoir d’agir sur notre futur.

💡 Ce que cette étude nous apprend est simple et profond à la fois.

Les chercheurs ont observé des centaines de sœurs religieuses pendant plusieurs décennies.

À 20 ans, elles ont été classées selon leur joie de vivre : des plus heureuses aux plus réservées.

Le résultat ?

👉 À 85 ans, 90 % des plus joyeuses étaient encore en vie, contre seulement 34 % des moins heureuses.

Incroyable, non ?

Mais ce n’est pas tout. Celles qui exprimaient un langage plus positif et plus riche dans leurs écrits de jeunesse avaient aussi beaucoup moins de déclin cognitif plus tard dans leur vie.

Autrement dit, la joie, les émotions positives et la curiosité nourrissent directement le cerveau.

Elles le rendent plus adaptable, plus créatif, plus fort.

C’est exactement ce que je vous transmets à travers la méthode Spaans, mon approche pour retrouver équilibre et clarté :

👉 On agit sur les “racines” – alimentation, sommeil, émotions, relations, mouvement – pour que les “feuilles” redeviennent pleines de vie.

Et la première de ces racines, c’est la joie.

Choisir la joie, c’est déjà commencer à protéger sa mémoire.